Numéro des Palais de justice à proximité

Pas accueillant du tout, le personnel est exécrable et le service de piètre qualité... Dans la mesure du possible je vous invite à éviter ce lieu où règne un sentiment de lourdeur qui étouffe rapidement, définitivement ce n'est pas l'endroit où il fait bon être...

Joli bâtiment

Par mes expériences avec la justice familiale, j'ai reçu des décisions méprisantes et à l'encontre du rôle du père.

Harcèlement de la part du juge, ma liberté est morte pendant qu'elle fait sa vie...

Une réponse inattendue...........................

Efficace accueil agréable

Pas possible d'avoir quelqu'un si MAL POLI au téléphone. Dommage, pas de 0 étoiles à marquer. VRAIMENT, je me demande comment c'est possible un service pareil. Attendre ce niveaux d'impolitesse.. c'est fait express? Car je me suis demandé si est-ce qu'on était pas 1 avril.

Secrétaire qui ne connaît pas les lois, se permet de vous prendre de haut, Raccroche et ne vous répond plus. Changez de métier si vous êtes incapable de communiquer!

Secrétaire odieuse qui ne comprend rien et qui vous raccroche au nez!

Condamné, sous une erreur de Patronyme, ayant effectuer, toutes mes peines en totalité..je souhaite écrire une requête, auprès du Procureur de la république d Agen, en nominatif. IMPOSSIBLE .LE ,LES PRÉCÉDENTS AYANT ÉTÉ MUTER !! Mes courriers. En AR ,etant restés ,Sans réponse .IL ME RESTE, Strasbourg et les Droits de l'homme. Cordialement a Tous.

Amende reçue le 16 novembre 2023 pour une infraction " arrêt gênant de véhicule sur voie publique" datant du 07 février 2023!! Amende 35 euros + 31 euros de droit fixe de procédure=66 euros pour 2 minutes d'arrêt non gênant alors que j'étais dans ma voiture pour récupérer une personne.. .Vive la France, vive la Republique et vive les 💸💸💸💸💸💸🤣🤣...Je ne conteste pas l'amende mais envoyer une ordonnance pénale pour 2 minutes d'arrêt alors que je suis resté dedans ...Pendant ce temps là, les vrais criminels courent les rues...

La justice est censée protéger les plus vulnérables. Pourtant, depuis deux ans, une mère se bat pour sauver ses enfants, arrachés à elle pour être placés chez un père accusé de violences physiques et sexuelles. Malgré les signalements, malgré les preuves, malgré les appels à l’aide, les institutions ferment les yeux. Comment expliquer qu’en 2025 encore, la parole des victimes soit ignorée ? Que des décisions judiciaires brisent des vies plutôt que de les protéger ? Ce système, censé rendre justice, devient complice de l’injustice. Nous ne pouvons pas rester silencieux face à cette mécanique institutionnelle qui piétine les droits des enfants et des mères protectrices. Ce combat ne concerne pas qu’une famille : il est le reflet d’un problème systémique où trop de victimes sont abandonnées. Il est temps que la justice prenne ses responsabilités et cesse de protéger les agresseurs au détriment des survivants.