Tribunal et parquet qui ne répond pas aux plaintes et les classent abusivement sans suite depuis 2014.
Ne répond pas plus aux demandes d'audience depuis 1 an devant JE.
Continue à couvrir l'institutrice Mme Elodie KUSMIEREK en Touraine qui pratique des violences psychologiques et aliénation parentale sur son propre enfant depuis plus de 10 ans. Mme KUSMIEREK n'a jamais respecté aucun des jugements précédemment rendus en 2014 et 2015, a joué de ses influences et relation auprès de l'Éducation Nationale, a préméditée la fugue de son propre fils, et le maintien aujourd'hui toujours sous emprise avec la prise régulière d'anxiolytiques ayant faussement accusé son ex-conjoint d'être à l'origine des maux de ventre du mineur (qui se sont présenté à son domicile pour la 1ière fois) pour justifier ses NRE (non représentations d'enfants) depuis mars 2022.
Tribunal qui masque plus de 80 heures d'absences scolaires du mineur alors qu'il est désormais en garde exclusive chez sa mère.
Ignore les preuves constatées par la gendarmerie de Ballan-Miré : prise de puff du mineur au domicile de la mère, impact de ses 3 PMA à l'étranger sur le mineur et IVG avec enfants trisomiques, messages WhatsApp de préméditation de la fugue.
Ne tient pas plus compte d'un conflit d'intérêt avec l'ACJET 37 intervenue dans l'audition dudit mineur. Asso dirigée par Mr. Jean-Yves Gillet, 1er avocat de ladite institutrice et ancien associé de la famille KUSMIEREK via une SCI.
Tribunal et Parquet qui ignorent encore l'agression de la famille KUSMIEREK sur la propre grand mère paternelle du mineur le 8 avril 2022 et procédé à la soustraction de l'enfant alors que des enregistrements ont été fournis.
Tribunal qui ignore l'intégralité de toutes les preuves factuelles en total violation des articles 9-1 du CC et de l'art. 16 du CPC, sans aucune enquête préalable et ce au détriment de la santé du mineur. Tribunal qui va même jusqu'à ne pas respecter ni faire appliquer ses propres jugements émis antérieurement !
Les juges A. BERON et Maryline RANOUX-JULIEN (dénoncée au CSM pour la seconde) ne respectent pas les articles 227-5 du code pénal. Bafouent les articles du code civil 371 et de l'autorité parentale partagée, bafouent l'article 388-1 sans jamais déterminer la capacité de discernement du mineur concerné, appliquer de protocole d'audition sérieux (NICHD ou Mélanie), ni même mettre en corrélation les auditions avec le moindre élément factuel.
Le TJI de Tours Bafoue ainsi ouvertement la Convention Internationale des Droits de l'Enfant (C.I.D.E.) et en particulier l'article 24-3.
N'argumente sur aucune de ses décisions et en total abus de pouvoir se couvre sur "l'autorité suprême du juge".
Préfère écouter les spéculations toutes mensongères de l'avocat Mr PILLET sans scrupule et ses manquement graves à la déontologie, d'autres témoignages qui présentent des conflits d'intérêts ou des attestations fallacieuses sans qu'aucune enquête ni preuve de violence du père faussement accusé ne soient établies.
Le TJI de Tours prive ainsi abusivement un enfant de son père depuis maintenant plus de 850 jours !