La justice est censée protéger les plus vulnérables. Pourtant, depuis deux ans, une mère se bat pour sauver ses enfants, arrachés à elle pour être placés chez un père accusé de violences physiques et sexuelles. Malgré les signalements, malgré les preuves, malgré les appels à l’aide, les institutions ferment les yeux.
Comment expliquer qu’en 2025 encore, la parole des victimes soit ignorée ? Que des décisions judiciaires brisent des vies plutôt que de les protéger ? Ce système, censé rendre justice, devient complice de l’injustice.
Nous ne pouvons pas rester silencieux face à cette mécanique institutionnelle qui piétine les droits des enfants et des mères protectrices. Ce combat ne concerne pas qu’une famille : il est le reflet d’un problème systémique où trop de victimes sont abandonnées. Il est temps que la justice prenne ses responsabilités et cesse de protéger les agresseurs au détriment des survivants.